En Italie ils autorisent l'arrivée de Ganaspis brasiliensis pour lutter contre Drosophila suzukii
En Italie, le ministère de la Transition écologique a autorisé le lâcher du parasitoïde Ganaspis brasiliensis, importée l'année dernière de Suisse, et qui selon des études est capable de lutter contre la petite mouche asiatique des fruits envahissante Drosophila suzukii, qui cause des dommages considérables aux cultures de myrtilles et autres fruits dans le monde.
Trente et autres
L'autorisation officielle est parvenue au Service de l'agriculture de la province autonome de Trente, qu'avec le Fondation Edmund Mach (FEM) représente le Trentin à la table nationale pour lutter contre le Drosophila suzukii, coordonné par le Consiglio per la Ricerca à Agricoltura e l'Analisi dell'Economia Agraria (CREA), bien qu'il existe d'autres régions qui ont également obtenu l'autorisation avec les provinces autonomes de Trente et de Bolzano, comme la Vénétie, le Val d'Aoste, le Piémont, l'Émilie-Romagne, la Campanie, la Sicile et les Pouilles.
Le FEM
La nouvelle de cette autorisation a été très bien accueillie à la Fondation Mach, où depuis des mois ses chercheurs et techniciens travaillent dans des chambres de quarantaine pour élever et multiplier ces micro hyménoptères, originaires d'Extrême-Orient, qui sont une vespina (mite) inoffensive. pour les humains.
Pour matérialiser ces sorties de Ganaspis brasiliensis sur le territoire, l'autorisation spécifique du Ministère de la Transition écologique évaluer l'analyse des risques directs et indirects liés à la libération de Contrôle biologique Appliquée sur la biodiversité, pour laquelle le FEM a préparé un document d'évaluation des risques détaillé, qui décrit les caractéristiques biologiques et écologiques de l'espèce Ganaspis brasiliensis et les impacts possibles sur l'écosystème.
Processus et suivi
Les représentants des sept régions et des deux provinces autonomes de Trente et Bolzano participer au groupe national pour le lancement de l'antagoniste à la Drosophila suzukii signé et envoyé la demande de libération à Ministère de la Transition écologique début mai 2021, en même temps que l'étude de risque préparée par le FEM. Le processus a impliqué la participation de plusieurs instances officielles, telles que le Institut Supérieur de Recherche et de Protection de l'Environnement (ISPRA), les agences régionales et provinciales de protection de l'environnement (ARPA et APPA) et enfin les Ministères de l'Environnement et de l'Agriculture.
Selon le FEM, après le lâcher du parasitoïde, un programme de suivi pluriannuel évaluer en toute sécurité tout impact sur la écosystèmes locaux et son efficacité contre Drosophila suzukii. La prochaine étape, concernant les résultats et l'effet de la Ganaspis brasiliensis sobre la Drosophila suzukii, il s'agira d'un plan de suivi et d'un rapport détaillé qui seront transmis au Ministère au plus tard en décembre 2021.
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