Le système permettra la génération d'informations de base pour le remplacement variétal des myrtilles au Chili

Étant donné que le Chili a été un leader dans l'introduction des bleuets dans l'hémisphère sud à la fin des années XNUMX, le matériel végétal planté provient principalement du progrès génétique de cette époque, avec un potentiel post-récolte limité par rapport aux nouveaux cultivars. À leur tour, en raison des températures élevées pendant la période de maturation de l'espèce, les fruits sont encore plus sujets à la déshydratation pendant le voyage, compromettant leur qualité sur les marchés de destination.
Cela a obligé l'industrie du bleuet à envisager un remplacement variétal urgent, soulignent Claudia Moggia et Gustavo A. Lobos, universitaires de la Faculté des sciences agricoles et chercheurs du Centre d'amélioration phytogénétique et phénomique de l'Université de Talca. "Malgré le nombre important de nouvelles variétés plus fermes disponibles grâce à différents programmes de sélection à travers le monde, la quantification de l'impact de l'environnement dans lequel le fruit pousse est décisive pour la caractérisation d'un cultivar dans un endroit donné."
Dans cette optique, les chercheurs ont entrepris de générer un système permettant de déterminer de manière rapide et fiable les variétés et les zones les plus appropriées pour maximiser la qualité du fruit pour le consommateur final.

HortScience – American Society for Horticultural Science – Volume 58, Numéro 7, juillet 2023
"Le grand avantage de cette méthodologie est que, contrairement aux études menées au niveau de la coquille (unité commerciale), il est possible de caractériser la déshydratation au niveau individuel du fruit en moins de sept jours. Le système permet d'évaluer la perte d'eau dans des dizaines de cultivars en même temps, en établissant la contribution relative de la cicatrice et de la cuticule, qui sont les principales voies de déshydratation de la baie. L'initiative appelée « système de déshydratation accélérée » a été développée conjointement par des universitaires de la Faculté des Sciences Agronomiques et Javier Lorca, un universitaire de l'École de Design de la même institution.
La nouvelle méthodologie leur a déjà apporté des réalisations, comme la publication dans la revue HortScience, où ils ont souligné le niveau de nouveauté et les résultats obtenus par cette ligne de recherche.
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